Alors que les jours rallongent les jupes des filles raccourcissent et s’ornent de volants qui flirtent avec le vent découvrant des cuisses rosissantes aux premiers rayons de soleil. Des hommes croisent leur chemin, et certains se retournent et je les surprends tout sourire interrompre leur marche, se retourner, accompagner de leur regard concupiscent les croupes mouvantes qui déjà s’éloignent et leur échappent. Ils imaginent ces formes fermes et fuyantes sous leurs mains, que jamais ils ne possèderont, qui jamais ne seront leurs, et reprennent leur chemin, pauvres Ulysse sans Pénélope, vers d’autres rêves, d’autres voyages et d’autres sirènes.
C’est très, très court!
et très très jeune !…
C’est de bonne guerre! Je fais de même quand je vois un homme plutôt bien de sa personne portant un pantalon qui le met à son avantage! 🙂
Rhhhoooo, coquine !
Encore un tres joli texte. Vs ecrivez tres bien. Etes vous instit ?? Bon we
Merci, mais non !…
Bonne semaine à vous
Hahaha… Nous aussi on va mater les beaux gars alors 😉 Bises
On va se gêner !… En toute discrétion, avec un air de ne pas y toucher. D’ailleurs on n’y touche pas, alors …
Vous netes pas instit
Mais vs avez un gout prononce pour la litterature. Toutes ces jolies phrases me plaisent beaucoup, vos descriptions sont precises et poetiques. Jm aussi ttes vos photos originales et je vous fais une confidence grace a vs jai eu l envie de faire de meme au hasard des rues traversees, cela me procure reellement un grand plaisir. Je vous adresse un grand merci. :).
Jai lu quelque part que vs aviez songe arreter votre blog j espere que non car tous les soirs je suis impatiente de vs lire pour clore agreablement ma journee. Je vs souhaite une douce nuit. Allez hop je vais au dodo !